Résidences départementales
Chaque année le Collectif – avec l’aide de la DRAC IDF et du Conseil départemental – accompagne une compagnie chorégraphique en Résidence Départementale.
Ce soutien permet à celle-ci une forte implantation sur le territoire de l’Essonne, se traduisant par une aide à la création qui lui ouvre des portes pour mener des temps de travail en résidence, des actions culturelles, des ateliers, des formations ainsi que de multiples diffusions.
Résidence territoriale chorégraphique 2024-2025 :
L’association du 48
Le Collectif pour la Culture en Essonne accompagne sur la saison 2024-2025, la compagnie l’Association du 48 pour un projet de résidence chorégraphique territoriale, soutenue par la DRAC Île-de-France.
Sylvain Prunenec, danseur et chorégraphe, s’est associé il y a 7 ans au musicien et compositeur Ryan Kernoa pour développer des spectacles chorégraphiques. Ils collaborent à la conception et la mise en œuvre artistique de plusieurs projets qui cherchent à s’inscrire dans des paysages naturels, tout en réfléchissant à la traversée des territoires (naturels ou urbains). Ces axes de recherche ont amené à la création des œuvres suivantes : 48ème parallèle, Être milieu des milieux (en collaboration avec Sophie, Laly, vidéaste), Topo, ou encore Ça traverse.
Cette résidence continuera dans la lignée de ces travaux, avec la création de Bruissement. Parallèlement à ce travail se développe un autre axe qui serait celui de l’observation des vicissitudes humaines et la tentative de les dépeindre en gestes, en mots, en sons. Qu’il s’agisse de s’interroger sur les mécanismes de la conscience dans l’acte de danser dans Le fil ; de démonter les principes de la répression politique des corps dans Comme chien ; ou de s’intéresser à la condition des ouvrières et ouvriers d’une conserverie de poissons dans Le rebond du ludion, il est à chaque fois question d’être curieux de la nature humaine (sa vulnérabilité, ses potentialités) et d’en tirer des formes poétiques qui dépassent les limites du sujet abordé.
L’association du 48 propose régulièrement des actions artistiques auprès de publics divers (scolaires, amateurs, personnes en situation de handicap, personnes âgées…). Lorsque cela est pertinent – notamment au cours des périodes d’immersion – des temps de rencontres, d’ateliers et de performances s’articulent dans une même semaine, dans une même journée, voire dans un même moment, de manière à décloisonner et faire fusionner ces diverses activités.
La compagnie s’inscrit dans le territoire depuis septembre 2024, avec des temps de résidence de création (Le Silo à Méréville, La Lisière à Bruyères-Le-Châtel), mais aussi de diffusion de spectacles.
Les résidences précédentes
Où et quand découvrir cette compagnie ?
• Dimanche 10 novembre 2024 à 15h30 à Sainte-Geneviève-des-Bois, Parc du Perray : Topo, performance chorégraphique présentée dans le cadre du festival Si(Non)Oui !
• Entre janvier et avril 2025 à l’EPS Barthélémy Durand, pour des ateliers et une représentation (en cours d’organisation)
• Le 25 mai 2025 à la Fête de la Nature de Sainte-Geneviève-des-Bois (à confirmer)
• Entre juin et juillet 2025 au Silo à Méréville pour un temps de résidence de création et de médiation avec des enfants de l’école de Saclas (dates exactes à venir) ainsi qu’à l’occasion du festival Les Traverses.
Résidence territoriale chorégraphique 2024-2025 :
L’association du 48
Le Collectif pour la Culture en Essonne accompagne sur la saison 2024-2025, la compagnie l’Association du 48 pour un projet de résidence chorégraphique territoriale, soutenue par la DRAC Île-de-France.
Sylvain Prunenec, danseur et chorégraphe, s’est associé il y a 7 ans au musicien et compositeur Ryan Kernoa pour développer des spectacles chorégraphiques. Ils collaborent à la conception et la mise en œuvre artistique de plusieurs projets qui cherchent à s’inscrire dans des paysages naturels, tout en réfléchissant à la traversée des territoires (naturels ou urbains). Ces axes de recherche ont amené à la création des œuvres suivantes : 48ème parallèle, Être milieu des milieux (en collaboration avec Sophie, Laly, vidéaste), Topo, ou encore Ça traverse.
Cette résidence continuera dans la lignée de ces travaux, avec la création de Bruissement. Parallèlement à ce travail se développe un autre axe qui serait celui de l’observation des vicissitudes humaines et la tentative de les dépeindre en gestes, en mots, en sons. Qu’il s’agisse de s’interroger sur les mécanismes de la conscience dans l’acte de danser dans Le fil ; de démonter les principes de la répression politique des corps dans Comme chien ; ou de s’intéresser à la condition des ouvrières et ouvriers d’une conserverie de poissons dans Le rebond du ludion, il est à chaque fois question d’être curieux de la nature humaine (sa vulnérabilité, ses potentialités) et d’en tirer des formes poétiques qui dépassent les limites du sujet abordé.
L’association du 48 propose régulièrement des actions artistiques auprès de publics divers (scolaires, amateurs, personnes en situation de handicap, personnes âgées…). Lorsque cela est pertinent – notamment au cours des périodes d’immersion – des temps de rencontres, d’ateliers et de performances s’articulent dans une même semaine, dans une même journée, voire dans un même moment, de manière à décloisonner et faire fusionner ces diverses activités.
La compagnie s’inscrit dans le territoire depuis septembre 2024, avec des temps de résidence de création (Le Silo à Méréville, La Lisière à Bruyères-Le-Châtel), mais aussi de diffusion de spectacles.
Où et quand découvrir cette compagnie ?
• Dimanche 10 novembre 2024 à 15h30 à Sainte-Geneviève-des-Bois, Parc du Perray : Topo, performance chorégraphique présentée dans le cadre du festival Si(Non)Oui !
• Entre janvier et avril 2025 à l’EPS Barthélémy Durand, pour des ateliers et une représentation (en cours d’organisation)
• Le 25 mai 2025 à la Fête de la Nature de Sainte-Geneviève-des-Bois (à confirmer)
• Entre juin et juillet 2025 au Silo à Méréville pour un temps de résidence de création et de médiation avec des enfants de l’école de Saclas (dates exactes à venir) ainsi qu’à l’occasion du festival Les Traverses.
Compagnie Le Principe d’Incertitude (2022-2024)
Depuis 2011, au sein de leur compagnie Le principe d’incertitude (LPDi), Liz Santoro et Pierre Godard collaborent étroitement à la fabrication de machines chorégraphiques qui tentent de déjouer les habitudes de notre attention. La singularité de leurs parcours respectifs les a amenés à élaborer des systèmes d’écriture centrés sur le mouvement et le texte et qui, en révélant des processus sous-jacents – mécanismes de pouvoir et de séduction, organisation de l’espace social, modes opératoires du système nerveux – proposent au spectateur l’expérience d’une interaction perceptive où regarder devient une action qui provoque une réaction.
Sur la saison 2022-2023, la compagnie s’est installée sur le territoire, pour continuer son travail de création. Au programme : actions culturelles en école, et en Institut Médico-Educatif, résidence chez nos partenaires et présentation de leur spectacle The Game of Life pendant la 6ème biennale Si(Non)Oui ! 2022 à Verrières-le-Buisson.
En 2023-2024, le travail territorial a continué : travail de résidence de création à l’Opéra de Massy et à la Scène de Recherche de l’ENS Paris Saclay, actions de médiation avec des adultes, des étudiants, des lycéens, des élèves, et plusieurs représentations de leurs spectacles The Game Of Life, Tempéraments et Mutual Information.
Compagnie Eukaryota (2020-2022)
La Compagnie Eukaryota est née de la rencontre de collaborateurs complémentaires, d’univers et de générations différents – chorégraphe, danseurs, musiciens, compositeurs, dramaturges, artiste plasticienne, mathématicien et chercheurs scientifiques. Elodie Sicard, danseuse et chorégraphe de la compagnie est à l’initiative des projets.
Lors du « Attention Travaux ! » de 2019, le deuxième volet de son projet en devenir, une chorégraphie triptyque « Les Alibis, Les Assaillants, Les Aspirants » a été présenté. Face aux enjeux environnementaux, la compagnie a proposé une réflexion engagée sur le rapport de l’homme à la nature et plus généralement à son environnement. Cette résidence permettra à la Compagnie Eukaryota d’aboutir ses créations, les diffuser et effectuer des actions culturelles sur le territoire.
Compagnie Atmen
(2019-2020)
La compagnie ATMEN de Françoise Tartinville a travaillé sur la création « Interstice-vert » et les extensions qui l’accompagnent. Atmen signifie « respirer » en allemand. Fondée en 2006, la compagnie crée et diffuse des spectacles de danse contemporaine en lien avec d’autres disciplines (musique, arts plastiques etc.). Leur travail se développe autour d’une écriture chorégraphique minimaliste. C’est une recherche sur le mouvement organique, brut, impulsif initié par différentes techniques de respiration. La chorégraphie se déploie autour de motifs récurrents qui se génèrent, se multiplient et se transforment en fonction d’une étude spécifique sur les états de corps. La compagnie a choisi de développer des spectacles dans leur version intérieure et extérieure, des performances in situ, afin d’élargir le champ des possibles d’une même création.
Compagnie Communauté Inavouable (2017-2018)
Depuis 2003, Clyde Chabot monte ses propres textes qui portent sur le dysfonctionnement amoureux, les utopies politiques et la chute des idéologies, l’identité et les origines. Ces créations mettent en jeu une confrontation dynamique entre le théâtre et les autres arts : opéra, création sonore, danse, vidéo, arts plastiques… Elles sont présentées en Ile-de-France, en France et à l’étranger.
Clyde Chabot dirige les acteurs au plus près de leur personnalité vers une exposition sensible et scénique d’eux-mêmes. Ses créations portent une attention particulière aux spectateurs leur proposant tour à tour une position de complices, témoins ou convives.
Compagnie 2Minimum (2015-2016)
En partenariat avec la DRAC Ile-de-France, le Collectif pour la culture en Essonne a soutenu une résidence chorégraphique départementale avec la compagnie. En 2016, plusieurs dates de diffusion ont été programmées :A la chaleur de nos mains : représentation à l’EPHAD de Courcouronnes le 12 Janvier 2016. Partition sonore pour une danse que l’on ne voit plus : représentation à l’Institut médico-professionnel basé à Chilly-Mazarin le 17 février 2016. Lâche : représentation dans le cadre du festival Et si on dansait ? de la ville d’Orsay le 8 avril 2016.Nos charmes n’auront pas suffi : plusieurs représentations s’inscrivent dans un parcours de danse dans des églises du département. Une première représentation le 2 juillet 2016 à la Collégiale Notre-Dame-du-Fort d’Étampes suivi de deux autres représentations lors des Journées Nationales du Patrimoine les 16 et 17 septembre 2016 dans l’Étampois.